La rencontre

Véritable carpharnaüm, je me sens chez moi. Ce palais du peuple m’offre enfin l’opportunité de retrouver mes origines. Tels des fantômes d’une gloire perdue, ici une armure abandonnée, là un diadème scintillant. Je progresse sans bruit tous mes sens en éveil, quand soudain dans un coin sombre, j’aperçoit un chien, il grogne et retrousse ses babines, derrière lui un enfant se cache.
J’approche un peu plus, le chien est près à bondir, c’est à ce moment que l’enfant parle " c’est bien Bourgas, ce n’est pas un fantôme, tu peux te taire"